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Des étoiles sur mes chemins: récit

Résumé
Le père de l'auteur n'a jamais pu lire un de ses livres - il était à demi illettré -, mais il connaissait le langage des oiseaux et autres trésors de la nature. Gilberte Favre a dû attendre sa mort pour découvrir l'indicible de son enfance, clé de tant de mystères. Sur le chemin de l'écriture et de la vie, elle a cependant eu le privilège de compter sur un guide précieux, le « Père-Poète », Maurice Chappaz. De la Suisse au Hoggar, en passant par le Liban et le Kurdistan, son itinéraire est notamment éclairé par des personnalités aussi lumineuses qu'Andrée Chedid, Eleni Kazantzaki, Ghassan Tueni. Ce livre peut être considéré comme un chant d'amour et de reconnaissance à son père, à son père spirituel et à ses amis d'ici et d'ailleurs, mais il est aussi le récit émouvant d'une petite fille qui a trouvé son salut dans les livres.
Durée: 5h. 3min.
Édition: Vevey, Ed. de l'Aire, 2011
Numéro du livre: 18748
ISBN: 9782940478101

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Résumé:Après la belle enquête sur la mort de son père au Liban, sur le fil entre fiction et reportage, Marie Gaulis nous livre un nouveau texte au statut troublant. Rêverie, méditation, réflexion ou fiction, il s'agit en tout cas de l'exposé d'une tristesse anthropologique, du constat d'un paradis perdu, du rêve d'un état encore sauvage. Rousseau n'est pas loin, mais la narratrice est bien une femme du XXIe siècle, lucide, curieuse et joueuse, vivant dans le monde hybride d'aujourd'hui. A travers marches, rencontres et lectures, elle évoque les Aborigènes d'Australie, ces Naturels dont le mode de vie millénaire a basculé au moment de leur rencontre.
Lu par : Bertrand Baumann
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Résumé:A l'exemple de Gorki, faut-il avoir subi toutes les misères et senti toutes les beautés du monde, pour oser s'attaquer aux souvenirs de l'enfance, exhumés de la mémoire avec la fulgurance de l'éclair ? Mémoires séquentielles qui expliquent l'amour de la liberté et de la justice mais aussi la violence, la tendresse, la rébellion que pimentent et adoucissent tout à la fois l'humour et la satire de soi-même. « "Ce sont les hommes qui amènent leurs fils à l'école le premier jour " : d'un geste inhabituel, mon père m'empoigne la main qu'il serre très fort à me faire mal. Je le regarde mais lui ne me voit pas. On dirait qu'il a hâte d'arriver ; j'ai de la peine à le suivre. Mon sac d'école ballotte dans mon dos ; on entend qu'il n'y a pas grand-chose dedans : une règle, une plume à bec, une boîte de crayons de couleur Caran d'Ache. Jeudi dernier, je suis allé avec ma mère aux Galeries Vaudoises. Le sac, c'est moi qui l'ai choisi : il est rouge avec des lanières blanches, aux couleurs de la Suisse. »
Lu par : Claude Fissé
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19890
Résumé:Quatrième de couverture : « Que l'on soit à la traite ou l'autre devant son établi, les heures pour eux sont fixes, les horaires immuables, les journées réglées, le temps alloué, celui d'une vie, découpée avec minutie avant même que d'être vécue, des jours pareils à ces images patiemment ciselées dans du papier noir, appliquées sur un fond blanc, qu'on envoie pour les fêtes ou qu'on suspend contre les carreaux d'une fenêtre qu'on veut coquette ; tableaux champêtres admirés non point pour la richesse du motif ou pour l'inventivité de l'auteur, mais bien pour la précision du coup des ciseau, la sûreté du trait, la propreté de l'exécution. »